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déclaration universelle des droits et libertés

L’essentiel était de faire ressortir le fait que la plupart de ces droits ne sont pas respectés. En conséquence, certains matériaux s’imposaient - le papier goudron, le carbone : la mémoire du temps, tape-à-l’œil, chatoyante comme la mémoire qui ne retient que le plus beau et le rouge de la craie : le sang. La calligraphie attire l’œil, mais y est presque illisible! On ne reconnaît que ce que l’on connaît déjà! 

Des 30 articles, on ne connaît que les premiers mots de l’Article Premier : « Tous les hommes naissent libres et égaux en droits et en liberté… ». Notre mémoire efface, embrouille et tache ces droits qui sont pourtant bien colorés. On arrive à peine à les déchiffrer. Ils sont, de plus, tous alignés sur « la ligne du temps » à la hauteur des yeux.

Puis, on revient au Préambule des  7 « Considérant » en bloc, très lisibles cette fois.  J’ai utilisé le parcours des salles de la galerie, puisque l’on doit revenir sur nos pas pour sortir et ainsi refaire le parcours, comme si on tournait en rond…

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© Élyse Proulx

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